Yannick Torlini
Le Laboratoire 2014/2015
» L’écriture est une nécessité, oui, mais rarement un plaisir. Une nécessité, face aux mouvements discordants du monde, de dire quelque chose de ce monde qui avance souvent sans moi. Il y a une guerre qui se déroule. Il y a le constat initial d’un désastre, un désastre qui se répète chaque jour, mais qui est pourtant accepté. Je ne sais pas comment trouver une voix et une langue dans cet état. il faudrait pouvoir trouver une langue effondrée à ce monde qui s’effondre. Oui, il faudrait pouvoir effondrer la langue pour trouver sa place dans le monde. «
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